Cher José (si vous me le permettez),

Je suis, autant que faire se peut, les activités du Centre d’information. Je vous sais gré de l’excellent travail que vous accomplissez.

Il est d’autant plus urgent que les temps, du moins pour le moment, ont l’air de s’assombrir.
Dans un tel contexte marqué par la crise des rapports entre la mémoire et la démocratie, l’importance du Prix FETKANN est plus que manifeste.

Je me réjouis donc à la lecture de cette joyeuse nouvelle. Je regrette de ne pouvoir être là demain au café de Flore. Mais mon éditeur sera présent et partagera ces réjouissances avec vos invités. J’en profite pour exprimer mon admiration pour les autres lauréats du Prix dans les autres catégories et espère vous rencontrer finalement en mai prochain, lors de mon passage à Paris.

Cordialement.

Achille